La Dernière Valse (film, 1. Wikipédia. Dernière Valse(The Last Waltz) est le nom donné au « concert d'adieu » du groupe de rock canadien The Band, qui se déroula le jour de Thanksgiving de 1. Winterland Ballroom de San Francisco. Outre le Band, de nombreux invités se produisirent ce soir- là, dont Paul Butterfield, Eric Clapton, Neil Diamond, Bob Dylan, Ronnie Hawkins, Dr. La Derniere Valse Mireille MathieuLa Derniere Valse Paroles De La ChansonJohn, Joni Mitchell, Van Morrison, Ringo Starr, Muddy Waters, Ron Wood et Neil Young. Le concert fut filmé par le réalisateur Martin Scorsese, qui en tira un documentaire, sorti en 1. Le film inclut des performances du concert, des scènes tournées dans un studio d'enregistrement et des interviews des membres du groupe par Scorsese. Un triple album reprenant la bande originale du film sortit la même année. La Dernière Valse est une chanson de 1967 interprétée par Mireille Mathieu. Cette chanson est la version française d'une chanson du chanteur anglais Engelbert. Watch the video, get the download or listen to Mireille Mathieu – La Dernière Valse for free. Discover more music, gig and concert tickets, videos, lyrics, free.
Le film est sorti en DVD en 2. CD incluant le concert et des enregistrements en studio liés. La Dernière Valse est considéré comme l'un des meilleurs concerts jamais filmés[1]. Cependant, le batteur du Band, Levon Helm, a été très critique envers ce film, considérant qu'il était trop centré sur Robbie Robertson, le guitariste et producteur du film, et pas assez sur les autres membres du groupe[2]. Commençant sur un panneau disant « This film should be played loud! » (« Ce film doit être écouté fort ! »), en référence à la pochette intérieure de l'album Let It Bleed des Rolling Stones, le documentaire étudie les influences du Band et sa carrière. Le groupe, composé de Rick Danko (guitare basse, violon, chant), Levon Helm (batterie, mandoline, chant), Garth Hudson (claviers, saxophone), Richard Manuel (claviers, percussions, chant), et le compositeur Robbie Robertson à la guitare, débuta sa carrière à la fin des années 1. Ronnie Hawkins, le premier invité du concert. Le Band joua pour Bob Dylan dans les années 1. Dylan joue avec eux vers la fin du concert. De nombreux autres artistes jouent avec le Band : Muddy Waters, Paul Butterfield, Neil Young, Joni Mitchell, Van Morrison, Dr. John, Neil Diamond et Eric Clapton, jouant du blues, du rock 'n' roll, du rhythm and blues, de la pop, du folk et du rock. D'autres genres apparaissent dans les séquences filmées ultérieurement en studio, avec Emmylou Harris (country) et The Staple Singers (soul et gospel). Le film s'ouvre sur le Band interprétant en rappel la dernière chanson de la soirée, une reprise du tube de Marvin Gaye. Baby Don't You Do It. L'on revient ensuite au début du concert, et la suite est plus ou moins chronologique. Aidé d'une section cuivre, le groupe interprète bon nombre de ses grands succès, dont Up on Cripple Creek, Stagefright et The Night They Drove Old Dixie Down. Entre les extraits du concert sont intercalées des séquences en studio et des entrevues menées par le réalisateur Martin Scorsese, durant lesquelles les membres du Band reviennent sur l'histoire du groupe. Robertson évoque l'entrée de Hudson dans le groupe, qui se fit à la condition que les autres membres le paient dix dollars par semaine pour des leçons de musique. Hudson, qui avait reçu une formation classique, pouvait donc dire à la ronde qu'il était professeur de musique, non pas un simple musicien de rock. Robertson décrit également l'expérience surréaliste d'avoir joué dans un night- club appartenant à Jack Ruby, l'assassin de l'assassin présumé du président Kennedy. Manuel se rappelle que parmi les premiers noms du Band, on compta « the Honkies » et « the Crackers » (les deux sont des termes argotiques pour désigner les blancs, utilisés par les noirs américains). Comme Dylan et leurs amis et voisins de Woodstock les appelaient simplement « The Band » (« le groupe »), ils décidèrent de s'appeler ainsi. On y voit aussi Danko faire visiter à Scorsese le studio du groupe, appelé Shangri- La, et lui jouer un enregistrement de Sip the Wine, une chanson de son futur album solo Rick Danko, sorti en 1. Un thème qui revient régulièrement dans les interviews de Robertson est que le concert marque la fin d'une ère pour le Band ; qu'après seize années passées sur la route, il est temps de passer à autre chose. C'est ce qu'est La Dernière Valse : seize ans de route. Le chiffre commence à devenir effrayant », déclare Robertson à Scorsese. Je veux dire, je ne pourrais pas supporter d'avoir derrière moi vingt ans de tournées. Je ne crois pas que je pourrais même en parler ». Ce sentiment est encore accentué par le choix des chansons filmées : par exemple, les paroles d'Up on Cripple Creek qui contient la phrase « this living on the road is getting pretty old » (« cette vie d'itinérant commence à se faire longue »). L'idée d'un concert d'adieu naquit au début de l'année 1. Richard Manuel fut grièvement blessé lors d'un accident de bateau. Robbie Robertson commença alors à penser à abandonner les concerts pour faire du Band un groupe exclusivement studio, de la même façon que les Beatles avaient décidé d'arrêter les tournées en 1. Bien que les autres membres du groupe fussent en désaccord avec la décision de Robertson, le concert fut fixé au Winterland Ballroom de Bill Graham, où le Band avait fait ses débuts en 1. Le groupe devait à l'origine se produire seul, mais une fois l'idée d'inviter Ronnie Hawkins et Bob Dylan lancée, la liste d'invités commença à croître pour inclure d'autres artistes. Promu et organisé par Bill Graham, associé de longue date au Band, le concert fut très élaboré. Il commença à 1. 7 heures, et les 5 0. Il y eut une séance de danse de salon sur une musique du Berkeley Promenade Orchestra, et les poètes Lawrence Ferlinghetti et Michael Mc. Clure firent des lectures. Le Band débuta le concert vers 2. Up on Cripple Creek, suivi de onze chansons parmi ses plus populaires, dont The Shape I'm In, This Wheel's on Fire and The Night They Drove Old Dixie Down. Ils étaient accompagnés d'une grande section cuivres dont la partition avait été arrangée par Allen Toussaint et d'autres musiciens. Ils furent rejoints par une succession d'invités, à commencer par Ronnie Hawkins. Sous le nom des Hawks, le Band avait été le groupe d'accompagnement de Hawkins au début des années 1. Dr. John s'installa au piano pour sa chanson la plus célèbre, Such a Night. Passant à la guitare, il rejoignit ensuite Bobby Charles pour Down South in New Orleans. Le concert prit ensuite une orientation blues avec le joueur d'harmonica Paul Butterfield, Muddy Waters, le pianiste Pinetop Perkins et Eric Clapton. Alors que Clapton interprétait son premier solo, sur Further on Up the Road, la sangle de sa guitare se détacha. Il s'écria « Attendez », mais Robertson reprit le solo sans manquer une mesure. Suivit Neil Young, qui chanta Helpless avec Joni Mitchell, aux chœurs, mais qui n'apparut pas sur scène. D'après le commentaire de Robertson sur le DVD du documentaire, c'était pour donner à son apparition ultérieure plus de poids. Elle monta sur scène après Young et chanta trois chansons, dont deux avec Dr John aux congas. Le suivant était Neil Diamond, qui présenta sa chanson Dry Your Eyes en déclarant « Je ne vais faire qu'une chanson, mais je vais la faire bien. » Il avait été invité par Robertson, qui désirait que les compositeurs de Tin Pan Alley fussent représentés. Robertson avait également produit l'album Beautiful Noise de Diamond, sorti la même année, et coécrit Dry Your Eyes, qu'il acclama comme une « grande chanson » durant le concert. L'apparition de Diamond ne fut guère populaire auprès des autres interprètes. Levon Helm se plaignit de l'absence de lien musical avec le Band, tout comme Ron Wood, qui déclara dans une interview en 1. Aucun de nous ne comprenait ce qu'il faisait là ». Apparemment, Bob Dylan le tenait également en piètre estime : une rumeur jamais confirmée veut que lorsque Diamond sortit de scène, il ait dit à Dylan : « Il te faudra être bon pour passer après moi », ce à quoi Dylan répondit : « Qu'est- ce que je dois faire ? Monter sur scène et m'endormir ? »Van Morrison interpréta ensuite deux chansons, un arrangement original de Tura Lura Lural (That's an Irish Lullaby) en duo avec Richard Manuel, et le clou habituel de ses spectacles, Caravan. Les Canadiens Young et Mitchell furent alors invités à revenir sur scène pour interpréter Acadian Driftwood, une ode aux Acadiens, avec le Band, qui interpréta ensuite quelques chansons supplémentaires avant que Bob Dylan monte sur scène pour mener son ancien groupe d'accompagnement pour quatre chansons. Avec tous ses invités, ainsi que Ringo Starr à la batterie et Ron Wood à la guitare, le Band interpréta alors I Shall Be Released comme finale. Le chant était partagé par Dylan, l'auteur de la chanson, et Manuel, dont la voix de fausset avait rendu la chanson célèbre sur Music from Big Pink. Cependant, on voit mal ce dernier dans le film, et il passe de sa voix de fausset à sa voix normale entre les couplets. Il y eut ensuite deux « bœufs ». Le premier comprenait le Band, à l'exception de Richard Manuel, avec Neil Young, Ron Wood et Eric Clapton à la guitare, Dr John au piano, Paul Butterfield à l'harmonica et Ringo Starr à la batterie. Suivit le deuxième bœuf, avec les mêmes, moins Robertson et Danko. Stephen Stills, qui arriva en retard, interpréta un solo de guitare et Carl Radle prit la basse. Le Band revint alors, vers 2h. Don't Do It. Ce fut la dernière fois que le groupe joua sous cette formation : lorsqu'il se reforma en 1. Robertson n'y était pas. Robertson voulait à l'origine enregistrer le concert en format 1. Il embaucha Martin Scorsese comme réalisateur, en se basant sur son usage de la musique dans Mean Streets. Avec Scorsese, le film prit de l'ampleur et devint une véritable production, avec sept caméras de format 3. Les caméras étaient dirigées par des chefs opérateurs parmi les plus respectés du métier, dont Michael Chapman(Raging Bull), Vilmos Zsigmond(Rencontres du troisième type) et László Kovács(Easy Rider). Les décors et l'éclairage furent conçus par Boris Leven, qui avait travaillé sur les comédies musicales West Side Story et La Mélodie du bonheur. La dernière valse (1. IMDb. 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March 2019
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